La transmission du paludisme pourrait diminuer dans les prochaines années, en Afrique. C’est ce qu’ont conclu trois chercheurs de l’université de Leeds (Grande-Bretagne), dans la revue Science. Pour cause, le réchauffement climatique.
Vers une diminution de la transmission du paludisme ? C’est ce que pensent trois chercheurs de l’université de Leeds. Les résultats de leurs recherches sur la malaria et le réchauffement climatique publiés dans la revue Science font état de ce que « la transmission du paludisme pourrait diminuer sur le continent dans les prochaines années ».
Ils avancent l’argument de l’assèchement de nombre de zones eu égard au réchauffement climatique avec comme conséquence les moustiques qui devraient avoir progressivement moins d’habitats.
Le revers de la médaille, cette annonce de la baisse de la transmission du paludisme à cause du réchauffement climatique implique la baisse des précipitations en Afrique et laisse planer l’idée de poches de sécheresses sur le continent dans les années à venir.
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