Le Président Ibrahim Traoré et son équipe de la Transition peuvent compter sur l’Association nationale des Conducteurs de Tricycles (ANCT). Les membres de l’associé l’ont témoigné, ce samedi 15 avril 2023 à Ouagadougou, au cours d’une conférence de presse où ils ont, séance tenante, initié une collecte de fonds pour participer à l’effort de guerre.
Parmi les soutiens du Président Ibrahim Traoré, il faut ajouter l’Association nationale des Conducteurs de Tricycles (ANCT). Ils l’ont démontré en parole et aussi en acte, ce samedi 15 avril 2023 à Ouagadougou.
En parole, parce que dans leur discours, ils ont d’abord salué la bravoure de celui-là qu’ils qualifient d’ « intègre responsable du Pays des Hommes Intègres », le Capitaine Ibrahim Traoré. « Nous sommes conscients du travail abattu dont vous et votre staff êtes à la manœuvre. Nous sommes rassurés de la gloire que vous apportez à toute la Patrie qui nous est chère », s’est satisfait Charlemagne Kiendrebego, Secrétaire général (SG) de l’ANCT.
Et pour tout cela, les conducteurs de tricycles, disent apporter leur soutien à l’équipe de la Transition et aux forces combattantes, car ne doutant point qu’elles viendront à bout de l’hydre terroriste, sous le leadership du président Traoré. « Nous sommes persuadés de la victoire », a soutenu Charlemagne Kiendrebeogo qui félicite le Capitaine Traoré, les Forces de Défense et de Sécurité (FDS) et les Volontaires pour la Défense de la Patrie (VDP) en ces mots : « vous redonnez une lueur d’espoir à tout le peuple, jusqu’alors soumis à la barbarie, contraint au déplacement (…) Le Pays des Hommes Intègres renaît, de nouveau, de ses habitudes ancestrales ».
Ainsi, en acte, l’ANCT a prouvé son soutien à la Transition, en levant, séance tenante, un fonds pour contribuer à l’effort de guerre. « À l’heure actuelle, on a pu mobiliser 60 000 pour soutenir l’effort de guerre », a fait savoir Alassane Ouédraogo, le président de l’ANCT. A ce propos, il a tenu à relever : « nous avons fait une modeste mobilisation pour ne pas créer des embouteillages, sinon à Ouagadougou, il y a presque 70 000 tricycles ».
« Mais, ce n’est pas fini », a rassuré M. Ouédraogo qui a souligné que la collecte va se poursuivre. Il a ainsi invité ses collègues conducteurs de tricycles qui voudront, à tout moment, contribuer à l’effort de guerre, à prendre contacter avec l’association pour le faire.
Et comme la tendance au Burkina est que « tout est urgent », Alassane Ouédraogo et ses camarades, après la conférence de presse ont démarré pour aller remettre leur contribution à l’effort de guerre, à qui de droit, en attendant de poursuivre la collecte.
Franck Michaël KOLA
Minute.bf