Il n’y a pas eu de session plénière finalement ce mercredi 26 janvier, à Bruxelles entre les ministres des Affaires étrangères des pays du G5 Sahel et l’Union européenne en raison du coup d’État au Burkina Faso. Selon nos confrères de RFI, les ministres présents se sont entretenus avec le chef de la diplomatie européenne, Josep Borrell sur le coup d’État au Burkina, du Mali et de Wagner.
Le chef de la diplomatie européenne a condamné le coup d’État au Burkina et appelé au retour à l’ordre constitutionnel. À en croire RFI, les rencontres avec ses homologues du Sahel ont été pour le chef de la diplomatie européenne l’occasion de condamner l’arrestation du président burkinabè et de demander au nom de l’UE sa libération et le retour de l’ordre constitutionnel au Burkina Faso.
Par ailleurs, l’Union européenne dit maintenir son engagement au Sahel. Elle en est un partenaire fiable et de longue durée. Cependant,
« l’UE a rappelé être prête à des sanctions individuelles contre ceux qui entravent la transition : elle demande rapidement un « calendrier électoral crédible ». Surtout, l’Union européenne avertit que la présence des mercenaires russes de Wagner est incompatible avec son engagement au Mali », a précisé pour terminer RFI.
Minute.bf