Le Conseil supérieur de la Communication a mis en demeure la télévision française France 24, pour avoir attribué injustement au gouvernement burkinabè, le terme « rebelles islamiques », en lieu et place de groupes armés terroristes qui avaient enlevé une soixantaine de femmes en mi-janvier, dans le Nord du Burkina Faso.
Le CSC a prévenu dans sa décision datant du 7 février 2023, qu’en cas de manquement similaire, France 24 s’exposera à des sanctions de degré supérieur notamment la suspension de la diffusion de ses programmes au Burkina Faso.
Pour rappel, en début décembre 2022, alors que le CSC connaissait un dysfonctionnement, le gouvernement burkinabè a suspendu les programmes de Radio France Internationale pour avoir fait cas d’une tentative de coup d’Etat au Burkina Faso et pour avoir relayé les propos d’un terroriste qui invitaient les populations à ne pas s’enrôler dans les rangs des Volontaires pour la défense de la patrie (VDP).
Minute.bf
Excellente décision le CSC . Puisque ces chaînes françaises croient pouvoir elargir le clan des ennemis du pays.
Ils savent qu’en abordant le côté religieux , les croyants se jetteront dans la foule.