Les travailleurs du ministère de la fonction publique observent un mouvement d’humeur ce 27 août 2019 au sein dudit ministère. Il s’agit des Gestionnaires des ressources humaines (GRH) du ministère.
Ces travailleurs par la voix de Ousmane Zongnaba expliquent que le présent mouvement d’humeur est la conséquence de la rupture du dialogue entre le ministre Séni Ouedraogo et les GRH. A les entendre, « le ministre refuse tout dialogue ». Ainsi, « les travailleurs des GRH se voyaient dans l’obligation d’initier ce mouvement d’humeur afin de dire au syndicat des GRH de prendre ses responsabilités et d’exiger le départ du Pr Séni Ouedraogo à la tête du ministère » a déclaré Ousmane Zongnaba.
Il estime que ce bras de fer entre le ministre et les GRH n’a que trop duré. « Il faut qu’une solution soit trouvée même si le ministre refuse le dialogue », a-t-il conclu.
Adam’s Ouedraogo
Minute.bf
Il faut que le président Roch Marc Kaboré fasse une grève aussi.
Pays est devenu trop bizarre
Ça vraiment trop duré cette crise
Ces affaire a suivre nous irons tous en greve
Il était vraiment temps.ce monsieur lui même porteur du dialogue social méprise ses proches collaborateur.tchrrrr
Vous savez le burkinabé est devenu trop egoïste si vous ne voulez pas travaillez demissionner c’est tout!votr grève à mi le pays en retard.on ne pas traiter tous le monde d la meme manière.
Ces affaire a suivre nous irons tous en greve
Trop de grève tue la grave. Vous avez épuisé vos moyens, qu’allez vous faire maintenant? Brûler le ministère ?
Soutien total à vous mes frères. On a pas besoin des ministres assassins. On en a assez souffert nous qui attendions nos avancements.
C’est dommage qu tous donneurs de lecons au temps de la lutte contre la modification de l’article 37 a cause de la soupe servi par pouvoir,soit devenus les pires adversaites des masses laborieuses. Meme Judas Escaroit,ayant pris conscience de sa trahison envers a eu comprendre son forfait. Dommage que nos universitaires pre insurrectionnel donneurs de lecons ont trahi les aspirations du peuple,et le paieront tot ou tard.