Le président de l’ASCE-LC, Luc Marius Ibriga a expliqué qu’il « y a une dégradation des indicateurs en matière de corruption », selon un communiqué de la Présidence du Faso. Il plaide donc pour plus de rigueur dans la sanction des actes de corruption.
« Pour y arriver, il a indiqué qu’il faut que les conseils de discipline dans les ministères et dans les administrations soient fonctionnels », ajoute le communiqué.
Le contrôleur général a insisté sur la nécessité de lutter contre ce fléau, notamment en raison du contexte sécuritaire. « Cela demande un réarmement éthique de chacun, parce qu’en cette période de crise et d’insécurité, la lutte contre la corruption doit être redoublée pour permettre au Burkina Faso d’avoir les ressources nécessaires pour faire face aux différents défis », a expliqué Luc Marius Ibriga.
Avec B24