Après le Mali par deux fois, c’est la Guinée qui vient de connaitre un putsch perpétré par des militaires.
Simon Compaoré, président du parti au pouvoir a mis en grade contre toutes velléités quiconque qui pensera à un tel forfait contre le pouvoir en place.
« Ici, celui qui prend le pouvoir par la force le laissera par la force comme en 2015 (putsch manqué du général Gilbert Diendéré) » a t-il laissé attendre. Et d’ajouter que les contextes ne sont pas les mêmes. L’environnement en Guinée, pense-t-il, est différent de l’environnement au Burkina Faso.
Pour lui, le camp des Orangers est serein. « Au MPP nous n’avons pas peur. Ceux qui prennent le pouvoir et ont peur de l’exercer finissent par partir », a martelé Simon Compaoré.
Minute.bf