Sur instruction du ministre des Infrastructures, Adama Luc Sorgho, l’Institut géographique du Burkina (IGB) mène, selon la Direction de la Communication et des Relations publiques du Ministère, des recherches approfondies pour comprendre les causes réelles des fréquentes submersions dans le village de Hèrèdougou.
Pour la deuxième fois consécutive, les techniciens de l’Institut géographique du Burkina sont présents sur le pont de Hèrèdougou. Équipés des outils nécessaires, ils enquêtent sur les raisons des inondations dans cette zone critique. Entrainant parfois la submersion de la chaussée et du pont.
Après une première intervention en août dernier, au cours de laquelle ils ont collecté des données initiales, ils reviennent pour approfondir leurs investigations. Le premier travail a permis au bureau d’etudes Aquatis de definir les principales causes situées a l’aval du pont. Les présents travaux du 11 octobre visent a rechercher les zones de fuites des eaux de leur cours normal en amont du pont de Hèrèdougou.
L’IGB exécute des travaux d’imagerie aérienne en aval et en amont du pont pour comprendre les principales causes des inondations recurrentes au niveau du pont de Hèrèdougou.
L’IGB, dirigé par Alidou Nagabila, est une structure du ministère des infrastructures ayant entre autres pour missions d’élaborer et mettre en œuvre la politique nationale en matière d’information géographique, mettre en place et gérer les réseaux de géodésie et de nivellement ; couvrir le territoire national en photographies aériennes ; normaliser et contrôler les travaux géodésiques et cartographiques ; aborner les frontières nationales.
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